Vers qui notre Église particulière a-t-elle « un manque d’écoute » ? Comment les laïcs sont-ils écoutés, en particulier les jeunes et les femmes ? Comment intégrons-nous la contribution des personnes consacrées, hommes et femmes ? Quelle place occupe la voix des minorités, des marginaux et des exclus ? Parvenons-nous à identifier les préjugés et les stéréotypes qui font obstacle à notre écoute ? Comment sommes-nous attentifs au contexte social et culturel dans lequel nous vivons ?
Comment favorisons-nous, au sein de nos communautés, un style de communication libre et authentique ? Quelles nouvelles pratiques mettre en œuvre pour une circulation de la parole plus naturelle ? Quel espace proposons-nous pour le dialogue entre nous ? Comment favoriser une culture du débat respectueux ? Quel processus pour la prise en compte des avis divergents ?
Quelle place et quelle légitimité de la parole des laïcs dans le débat public ?
Références : Recommandations 1, 24, 25, 34, 35, 36 et 44